Reconnu comme l’un des artistes les plus en demande au Canada, Mad Dog Jones rejoint la liste prestigieuse des marques mondiales et des athlètes de haut niveau, comme le champion de Formule 1 Lewis Hamilton, avec lesquels il collabore. Ses œuvres sont célèbres pour leur esthétique audacieuse et futuriste, et il apporte maintenant cette même énergie au ski de fond canadien. Découvrez son travail sur son Instagram ici.

Avant de devenir un artiste de renommée internationale, Michah était un fondeur de compétition à Thunder Bay, en Ontario, et il reste un passionné du sport, participant encore à des courses locales. Son lien profond avec le ski et l’équipe l’a inspiré à entreprendre ce projet unique – une première pour une combinaison de ski olympique et paralympique canadienne.

« J’adore le ski de fond, alors la possibilité de concevoir une combinaison pour les meilleurs athlètes du Canada est incroyablement spéciale », a déclaré Mad Dog Jones. « Je veux qu’ils se sentent rapides et puissants chaque fois qu’ils l’enfilent. »

Le design de la combinaison de course 2026 sera une déclaration visuelle audacieuse, alliant l’héritage canadien à la puissance et à l’athlétisme des meilleurs skieurs de fond du Canada.

La présidente-directrice générale de Nordiq Canada, Beckie Scott, a exprimé l’enthousiasme de l’équipe : « C’est un honneur incroyable d’avoir un artiste de ce calibre, non seulement Canadien mais aussi fondeur, qui conçoit nos combinaisons olympiques et paralympiques. Nous avons hâte de voir nos athlètes courir dans une combinaison qui fusionne l’art, le sport et la fierté nationale. »

Mad Dog Jones redonne au sport qu’il aime en rendant possible cette conception pour Nordiq Canada. Sa générosité permettra aux skieurs canadiens de se distinguer sur la scène internationale.

Le dévoilement officiel de l’uniforme des équipes pour les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2026 à Milano Cortina aura lieu à une date proche des Jeux.

CANMORE, Alberta—Beckie Scott est de retour à la tête du ski de fond canadien.

Après une recherche nationale approfondie menée par un comité de recrutement composé de dirigeants des divisions et de partenaires sportifs, Nordiq Canada a choisi l’une des athlètes olympiques les plus influentes du pays et l’une des leaders les plus respectées de la communauté pour bâtir un système financièrement stable au service du sport qu’elle a contribué à faire rayonner au Canada. Elle devient ainsi la nouvelle présidente-directrice générale de l’organisme.

« Je suis très enthousiaste à l’idée de saisir cette opportunité et d’apporter une contribution positive à un sport qui me tient profondément à cœur. Je m’engage à veiller à ce qu’il continue de prospérer et d’atteindre de nouveaux sommets à l’avenir. Je m’appuierai sur mon expérience en développement des affaires, en leadership et en haute performance pour assurer la stabilité financière de Nordiq Canada et promouvoir l’excellence à long terme », a déclaré Mme Scott.

« Je suis vraiment inspirée par les athlètes actuels et futurs du programme, et par tout ce qu’ils accompliront tout au long de leur parcours. J’ai fait partie du système sportif lorsqu’il était tourné vers les athlètes, et j’ai réussi grâce au soutien que j’ai reçu. J’ai vraiment hâte de retrousser mes manches et d’offrir le même soutien à cette nouvelle génération. »

Beckie Scott s’apprête à ajouter un nouveau chapitre à sa carrière déjà légendaire dans l’histoire du ski de fond canadien, incarnant parfaitement l’excellence sportive. Avant elle, aucune Nord-Américaine n’était parvenue à monter sur le podium dans ce sport olympique hivernal par excellence. Pourtant, en 2002, Beckie Scott a défié les probabilités, accomplissant l’impossible en décrochant l’or olympique. Quatre ans plus tard, elle a fait équipe avec Sara Renner pour remporter la médaille d’argent aux Jeux de 2006. Scott a mis fin à sa carrière plus tard cette même année, après avoir réécrit l’histoire du ski de fond. En plus de ses deux médailles olympiques, elle a inscrit 15 podiums en Coupe du monde, et sa quatrième victoire lors de sa dernière course à Sapporo, au Japon, lui a permis de terminer deuxième au classement général de la Coupe du monde.

« Beckie Scott est une figure d’excellence, une personne qui inspire immédiatement le respect et qui sait ce qu’il faut faire pour atteindre l’excellence, que ce soit sur les pistes ou dans ses engagements professionnels, tout en évoluant dans un système souvent limité en ressources », a déclaré Morgan Rogers, présidente du conseil d’administration de Nordiq Canada. « Beckie est une pionnière, ayant atteint des objectifs jamais réalisés auparavant. Elle a eu le courage de croire en l’impossible et la passion nécessaire pour y parvenir. Je suis ravie qu’elle mette la même détermination et ténacité au service de cette nouvelle fonction. »

« De plus, Beckie incarne tout ce que la communauté nordique du Canada attend d’une leader. Elle est un modèle d’intégrité, de collaboration, de compassion et d’altruisme, et représente un véritable exemple pour les Canadiens de tout le pays. Elle a toujours été une porte-parole infatigable de notre sport, une responsabilité qu’elle a toujours assumée avec humilité, tout en étant une dirigeante expérimentée au sein de l’une des organisations caritatives les plus influentes du pays. Nous ne pourrions être plus enthousiastes de voir Beckie revenir au sein de Nordiq Canada pour occuper ce rôle stratégique. »

Le sens aiguisé des affaires de Mme Scott et son expérience au sein de conseils d’administration, acquises au-delà des pistes, ont une portée internationale.

Après avoir participé à ses troisièmes Jeux olympiques à Turin en 2006, elle a été élue par ses pairs au Comité international olympique, où elle a exercé un mandat de huit ans en tant que membre de la Commission des athlètes. Véritable icône du sport propre, Mme Scott est devenue membre du comité exécutif de l’Agence mondiale antidopage (AMA) en 2012, avant de présider le comité des athlètes de l’AMA de 2013 à 2019.

« J’ai vécu le pouvoir du sport à tous les niveaux, du programme Jackrabbit dans une communauté rurale jusqu’à championne olympique ; des discussions à enjeux élevés avec les décideurs mondiaux du sport à l’organisation de jeux pour les jeunes Autochtones dans des communautés éloignées. Les connaissances et la perspective que j’ai acquises au fil de ces expériences sont inestimables et me seront d’une grande utilité dans ce rôle », a déclaré Mme Scott.

« Je crois fermement au travail d’équipe et aux accomplissements extraordinaires qui peuvent surgir lorsque les gens se rassemblent autour d’un objectif commun. Je suis convaincue qu’en collaborant et en établissant une norme d’excellence en matière de gouvernance, d’opérations, de finances, d’entraînement et de programmation, nous pouvons bâtir l’organisation la plus performante, celle dont nos athlètes ont besoin pour réussir sur la scène internationale. »

Véritable modèle de décence, d’humanité et d’humilité, l’influence de Mme Scott s’est étendue bien au-delà des pistes et de son engagement pour le fair-play.

Elle a fondé Spirit North en 2017, une organisation dédiée à améliorer la vie des enfants autochtones en utilisant le pouvoir transformateur du sport et du jeu. Sous sa direction en tant que directrice générale jusqu’en 2024, Spirit North est passée d’une petite organisation caritative desservant quatre communautés et 300 jeunes dans le nord de l’Alberta à la plus grande organisation de sport pour le développement au Canada. Aujourd’hui, elle collabore avec plus de 100 communautés autochtones à travers le pays, touchant chaque année plus de 16 000 enfants et jeunes Autochtones grâce à des programmes sportifs et ludiques.

« Spirit North est née d’une passion pour le sport et de la conviction que ce dernier peut changer des vies, inspirer, guérir et enseigner. Et que cette possibilité devrait être offerte à tous », a déclaré Mme Scott, qui a supervisé l’orientation stratégique et toutes les activités opérationnelles de l’organisation, y compris la gestion financière, les relations avec les parties prenantes et le développement des fonds. « Je suis extrêmement fière du travail accompli par notre équipe, ayant amassé plus de 6 millions de dollars pour faire de Spirit North l’une des organisations les plus performantes en sport pour le développement au pays. Au cours de ce parcours, j’ai acquis une compréhension approfondie des défis et des nuances de la gestion d’une organisation à but non lucratif, une expérience qui me sera précieuse pour Nordiq Canada. »

Mme Scott prendra officiellement les rênes de l’organisme national de sport le 17 mars, lors de la journée d’ouverture des Championnats nationaux de ski de Nordiq Canada, au Centre nordique de Canmore.

« Ma priorité immédiate sera de lancer une tournée d’écoute afin de rencontrer le plus grand nombre possible de membres de la communauté pour recueillir leurs commentaires, leurs idées et leurs perspectives », a déclaré Mme Scott. « L’objectif ultime est de poser des bases financières solides pour l’organisation et de garantir notre préparation pour un succès durable. Pour y parvenir, il est essentiel que nous travaillions ensemble, unis dans nos efforts pour créer une organisation plus forte qui soutienne nos athlètes du mieux possible. »

Scott réside près du siège social de Nordiq Canada à Canmore, en Alberta, avec son époux, Justin Wadsworth, un athlète olympique, ancien entraîneur national de ski de fond et actuellement entraîneur de l’équipe nationale de biathlon, ainsi que leurs deux enfants, tous passionnés de ski de fond et de mode de vie actif.

Officier de l’Ordre du Canada, membre du Panthéon des sports canadiens, du Panthéon olympique canadien, du Panthéon des sports de l’Alberta et du Panthéon du ski canadien, Mme Scott détient un doctorat honorifique en droit de l’Université de l’Alberta, de l’Université de la Colombie-Britannique et de l’Université Mount Royal. Elle a reçu les médailles du jubilé d’or et du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II, ainsi que la médaille du service méritoire. Elle est demeurée une bénévole passionnée au sein de sa communauté où elle consacre son temps à plusieurs organisations caritatives, telles que l’UNICEF et Right to Play, et collabore régulièrement avec CBC Sports en tant qu’analyste.

« Je ne m’attendais pas à de tels championnats – et ce n’est pas encore terminé », a confié Gagnon. « Aujourd’hui, c’était un peu plus prévisible, si je peux dire. Ma performance en technique classique reste celle dont je suis la plus fière, mais aujourd’hui, je me sens très bien. J’ai pensé à cette course pendant longtemps. Réussir à donner le meilleur de moi-même sur un parcours difficile, dans des conditions comme celles-ci, est un sentiment incroyable. »

Ce fut également une journée réussie pour l’équipe canadienne, qui a placé cinq autres athlètes parmi les 30 premiers. Chez les femmes, Sonjaa Schmidt, de Whitehorse, a terminé à la huitième position, tandis que Jasmine Drolet, de Rossland, s’est classée 23e. Chez les hommes, Max Hollmann, de Thunder Bay, a pris la 12e place, Tom Stephen, de Calgary, la 13e, et Sasha Masson, de Whitehorse, la 30e.

Gagnon a su maintenir une position solide tout au long de la course, naviguant entre la deuxième et la troisième place lors des moments clés. « Habituellement, sur un départ individuel de 10 km, je commence fort, car j’ai longtemps eu des difficultés à trouver mon rythme et je n’allais pas assez vite », a-t-elle expliqué. « Mais aujourd’hui, avec des conditions difficiles et un parcours exigeant, je me suis vraiment concentrée sur mon propre rythme. En fait, je ne suis pas partie trop vite, et je pense que cela a payé. La course était longue et j’avais besoin de cette énergie pour tenir jusqu’à la fin. »

Elle a franchi la ligne d’arrivée en deuxième position et a attendu les résultats finaux dans une atmosphère tendue. « Je savais que la Suédoise avait dominé les autres épreuves, mais je savais aussi que le pas de patin n’était pas son point fort », a ajouté Gagnon. « La principale concurrente aujourd’hui était l’Allemande Helen Hoffmann, qui a finalement remporté la victoire. Quand j’ai vu que la skieuse suédoise était un peu plus loin, j’ai eu l’impression que je pouvais la dépasser. C’était une sensation agréable — ne pas avoir à attendre trop longtemps pour connaître le résultat était aussi un soulagement, car sinon, cela aurait été une attente assez stressante. »

Le Canada aura deux autres occasions d’ajouter à son total de médailles dimanche lors des relais. L’équipe canadienne a remporté l’or dans le relais mixte des moins de 23 ans en 2024.

Gagnon attribue son succès à l’élan collectif de l’équipe. « Nous nous poussons tous les uns les autres et nous sommes sur la même longueur d’onde », a-t-elle expliqué. « Chacun réalise de bonnes performances, et ça stimule l’ensemble du groupe. Je pense que c’est un facteur clé de notre succès à ces championnats, et j’espère que ça continuera aux championnats du monde seniors. C’est vraiment motivant de voir le Canada briller ainsi, ça nous donne l’énergie et la confiance dont nous avons besoin. » Résultats complets : https://www.fis-ski.com/DB/general/results.html?sectorcode=CC&raceid=47132

« Nous sommes ravis de nous associer à Nordiq Canada pour offrir la diffusion en direct des Championnats canadiens de ski Nordiq Canada 2025 », a déclaré Raphael Payo, de Salomon Canada. « Soutenir le développement des fondeurs canadiens est au cœur de notre mission, et nous sommes fiers de contribuer à rendre cet événement accessible aux passionnés de ski à travers tout le pays. » 

Plus de 1 500 concurrents, supporters et amateurs de ski se rendront à Canmore du 17 au 23 mars pour cet événement. Sur les mêmes pistes qui ont accueilli la Coupe du monde de ski de fond de la FIS la saison dernière, les skieurs canadiens se mesureront sur un site de classe mondiale, habitué à recevoir certains des événements les plus prestigieux du sport. 

« L’une des meilleures façons de faire croître ce sport est de permettre aux Canadiens d’accéder plus facilement aux compétitions de haut niveau », a expliqué Megan Begley, chef de la direction de Nordiq Canada. « En plus de permettre aux passionnés de suivre les courses en direct, cette diffusion nous offrira aussi des images que nous pourrons utiliser pour créer des outils d’apprentissage pour les entraîneurs, les officiels et les athlètes, afin qu’ils puissent continuer à progresser. C’est un projet très excitant, et nous sommes heureux de le voir se concrétiser. » 

Les skieurs nordiques seniors, juniors et para participeront à des sprints, des courses de distance et des épreuves par équipe. En plus des titres nationaux, ces résultats auront un rôle essentiel dans la sélection des équipes pour la Coupe du monde et les équipes nationales de ski de l’année prochaine. 

« Nous sommes enchantés que Salomon soutienne la diffusion en direct des épreuves nationales », a déclaré Beckie Scott, membre du comité d’organisation. « Ce partenariat est une occasion fantastique de mettre en lumière notre sport et le superbe environnement du Centre nordique de Canmore. Il est évident qu’il y a une forte demande de la part des amis, de la famille et des fans pour pouvoir suivre ces événements, et nous sommes heureux de pouvoir y répondre. » 

La retransmission en direct sera disponible sur Home Team Live, et des informations détaillées sur l’accès à la diffusion seront bientôt communiquées 

Pour plus d’information sur les Championnats canadiens de ski Nordiq Canada 2025, visitez le site : https://www.skinationals2025.ca/ 

Coordonnateur du marketing et de l’engagement de Nordiq Canada  

Nathaniel Mah    

Nordiq Canada   

Tél.: 403-700-4927  

Courriel: nmah@nordiqcanada.ca  

« La qualification s’est très bien passée — il faisait beau, le ciel était bleu, nous étions dans ces magnifiques montagnes, la musique était bonne, et j’ai dansé toute la journée ! » a déclaré Schmidt, championne du monde de sprint en titre chez les moins de 23 ans.

Schmidt a commencé la journée en se qualifiant à la 10e place avant de dominer son quart de finale, où elle a terminé devant la Finlandaise Jasmi Joensuu. En demi-finale, elle a pris la quatrième place, mais s’est qualifiée pour la finale en tant que “perdante chanceuse”, avec l’un des temps les plus rapides.

La finale réunissait quelques-unes des figures les plus prestigieuses du sport, dont la championne olympique et du monde Jessie Diggins, des États-Unis.

« C’était vraiment incroyable », a confié Schmidt. « Jessie est venue vers moi, a lancé quelques blagues et savait exactement qui j’étais, ce qui m’a vraiment aidée à me détendre. Partager la ligne de départ avec des athlètes comme elle était exceptionnel, et l’ambiance était tellement positive que ça a rendu l’expérience encore plus mémorable. »

La Suédoise Jonna Sundling a largement dominé la course, franchissant la ligne d’arrivée en 2:49.04. La Norvégienne Kristine Stavaas Skistad a pris la deuxième place en 2:50.32, tandis que Dahlqvist a devancé Schmidt d’un souffle pour s’emparer de la troisième place en 2:51.91.

« Je pense qu’il y a eu une manœuvre que je n’aurais pas dû tenter, » a reconnu Schmidt. « J’étais un peu nerveuse et j’ai voulu prendre les devants trop tôt, mais ça n’a pas fonctionné. C’est une erreur que j’ai aussi commise hier, alors j’en tirerai les leçons. Le podium était vraiment à portée de main et la course a été tellement excitante. »

Le résultat de Schmidt s’inscrit dans une série de performances exceptionnelles des fondeuses canadiennes. Plus tôt cette saison, elle et sa coéquipière Liliane Gagnon (Québec) ont pris la cinquième place au sprint par équipe à Davos, en Suisse. Katherine Stewart-Jones (Chelsea, Québec) a ensuite signé une quatrième place lors de la troisième étape du Tour de Ski, tandis que Katherine Weaver (Vancouver, C.-B.) et Gagnon ont toutes deux terminé dans le top 20 lors de la compétition en France le week-end dernier.

« Je pense que les Canadiennes sont en feu en ce moment », a commenté Schmidt. « L’énergie est contagieuse au sein de l’équipe. Nous sommes toutes en quête d’un podium, et ce qui est génial, c’est qu’on ne sait pas qui y arrivera en premier. Ça peut être n’importe laquelle d’entre nous, et c’est très excitant, très inspirant. C’est vraiment une équipe formidable à cotoyer en ce moment. »

Schmidt a fait ses débuts dans l’histoire la saison dernière en devenant la première Canadienne à décrocher un titre aux Championnats du monde de ski nordique FIS des moins de 23 ans. Bien que ses hivers soient entièrement consacrés à la compétition, ses étés sont marqués par un entraînement peu conventionnel.

« Ces deux dernières années, j’ai passé entre huit et dix semaines, d’avril à juin, à planter des arbres. Cette activité me permet de financer ma carrière de skieuse tout en m’entraînant », a expliqué Schmidt. « Mon emploi du temps consiste en trois jours de travail suivis d’un jour de repos, ce qui me permet de me concentrer sur des entraînements spécifiques au ski durant mes jours de repos. Jusqu’à présent, ça fonctionne bien pour moi. »

Aussi peu conventionnel que cela puisse paraître, difficile de contester les résultats.

Le week-end prochain, Schmidt prendra part à sa dernière course de Coupe du monde à Cogne, en Italie, avant de se diriger vers Schilpario, en Italie, pour les Championnats du monde de ski nordique FIS des moins de 23 ans, où elle défendra son titre de championne du monde.

« La course d’aujourd’hui m’a donné confiance pour les M23, mais je sais aussi que ce sera un défi. Je vais devoir garder la tête haute et me rappeler que je peux aller encore plus loin grâce à ma forme physique. »

Résultats complets : https://www.fis-ski.com/DB/general/results.html?sectorcode=CC&competitorid=235543&raceid=46806

 
Présentation de l’équipe Canadienne : 
 
Femmes : 
 
Helen McCulligh – Université Carleton 
Sarah Cullinan – Université de Calgary 
Brooke Ailey – Université Nipissing 
Sienna Brennan-Raab – Université de Calgary 
Emmanuelle Paquet – Cégep Garneau 
Sophie Tremblay – Université Laurentienne 
Stella Duncan – Université de Calgary 
Sophia Giangrande – Université Carleton 
 
Hommes : 
 
Noah Weir Chaba – Université de Calgary 
Rémi Boilard – Université Laval 
Robin Mason – Université de Calgary 
Xavier Normandin – Cégep Garneau 
Nicholas Randall – Université Lakehead 
Alexis Ermel – Université Laval 
Mats Halvorsen – Université Laval 
Alexander Randall – Université Lakehead 
 
Paranordique : 
 
Charles Lecours – Université du Québec à Trois-Rivières 
 
 
Pour plus d’informations : Jeux mondiaux universitaires d’hiver de la FISU 2025 
 
Pour les résultats : FIS Ski de fond

« Pour certains, ce résultat semble sorti de nulle part, » a déclaré Stewart-Jones après la course. « Mais pour moi, je me sentais aussi bien qu’il y a deux saisons. J’ai eu ma part de malchance et c’était vraiment frustrant. Je savais que tout finirait par se mettre en place – il fallait juste être patiente. »

Après une saison marquée par des maladies et des bris d’équipement, comme des bâtons cassés, des problèmes de fixations et des chutes, Stewart-Jones avait souvent frôlé le top 10 sans jamais dépasser une 18e place au cours des deux dernières saisons.

« Je pense qu’il y a toujours une part de chance dans les courses, et la chance n’était pas de mon côté. Aujourd’hui, par contre, tout s’est aligné – chance, forme physique et concentration mentale. Ça fait longtemps que j’attendais ça, et je suis vraiment contente. »

Le format de départ individuel fait partir les athlètes à intervalles de 30 secondes. La Norvégienne Astrid Øyre Slind, qui partait juste après Stewart-Jones, a rapidement influencé la dynamique de la course.

« Quand Slind m’a rattrapée, je me répétais de ne pas lâcher prise, » a confié Stewart-Jones. « Je savais que skier seule serait beaucoup plus difficile, alors rester avec elle est devenu ma priorité. »

Slind a finalement remporté la course, franchissant la ligne d’arrivée en 48:54. Sa compatriote norvégienne Therese Johaug a terminé 3,3 secondes derrière, suivie de la Finlandaise Kerttu Niskanen à 20,3 secondes.

Stewart-Jones a suivi Slind jusqu’à l’arrivée, bouclant la course en 49:22, à égalité avec l’Allemande Victoria Carl. À seulement 7,5 secondes du podium, ce résultat confirme Stewart-Jones comme une sérieuse prétendante sur le circuit de la Coupe du monde.

« Quand j’ai franchi la ligne, je n’ai même pas vérifié les résultats. Je savais que j’étais dans le top 10, mais ce n’est qu’en voyant la réaction de mon équipe que j’ai compris à quel point c’était bon. »

« J’ai vu leurs visages et je me suis dit, d’accord, ça devait être vraiment bon, et j’ai encore du mal à y croire. »

La dernière fois qu’une Canadienne a terminé dans le top 4 d’une course de Coupe du monde remonte à 2011, lorsque Chandra Crawford a décroché une deuxième place à Rogla, en Slovénie.

Stewart-Jones occupe maintenant la 19e place au classement du Tour de Ski, à 3 minutes et 36 secondes de la leader. L’événement en sept étapes, similaire au Tour de France, combine les résultats de chaque étape pour établir le classement général.

« Mon objectif au début du Tour était de terminer dans le top 15. J’étais vraiment inquiète avant aujourd’hui parce que j’étais derrière, mais ce résultat m’a aidée à rattraper mon retard. Maintenant, je dois juste rester constante. »

Liliane Gagnon, de Shawinigan-Sud, Québec, a terminé 38e avec un temps de 51:39, tandis qu’Olivier Léveillé (Sherbrooke, Québec) et Antoine Cyr (Gatineau, Québec) ont respectivement pris les 48e et 56e places chez les hommes.

Lors de la quatrième étape demain, les athlètes s’affronteront dans la poursuite classique de 15 kilomètres, avec des départs basés sur les résultats d’aujourd’hui. Stewart-Jones partira cinquième, prête à viser un podium.

Résultats complets – Femmes 

Natalie Wilkie, de Salmon Arm, en Colombie-Britannique, a poursuivi sa série de podiums en décrochant la deuxième place à l’épreuve de sprint classique, derrière la Norvégienne Vilde Nilsen. La médaille de bronze est revenue à la Chinoise Zhiqing Zhao. Pour sa première course de la saison, Emma Archibald, de Fall River (N.-É.), a terminé au pied du podium, se classant quatrième.

Mark Arendz, de Hartsville, Î.-P.-É., a ajouté une médaille de bronze à son palmarès, poursuivant son excellent début de saison. Il a terminé derrière l’Allemand Sebastian Marburger, vainqueur de l’épreuve, et le Français Benjamin Daviet, qui a pris la deuxième place.

« Je pense que tout s’est très bien passé, en passant du biathlon deux jours plus tôt à la qualification et en terminant troisième », a déclaré Arendz. « Le vainqueur allait être très difficile à battre, mais je me suis positionné pour monter sur le podium et me battre pour la deuxième place. ».

Pour la première fois depuis 2014, le Canada a aligné un athlète dans chaque catégorie de classification lors d’une Coupe du monde de para nordique. Cet accomplissement a été rendu possible grâce à l’intégration des athlètes en développement Logan Larivière (Lively, Ont.), Madison Mullin (Fergus, Ont.) et Charles Lecours (Trois-Rivières, Qué.), qui ont fait leurs débuts sur la scène internationale. L’équipe a bénéficié du soutien des guides Matthew Strum (Canmore, Alberta), biathlète canadien, et Tory Audet (Chelsea, Québec), ancienne membre de l’équipe nationale de ski.

« C’est fantastique de voir des athlètes monter sur le podium et d’autres participer à leur toute première Coupe du monde en une seule fin de semaine », a déclaré Leslie Bode, entraîneuse du développement du ski para nordique chez Nordiq Canada. « Cela montre que notre programme de développement porte ses fruits, et c’est tellement inspirant de voir des vétérans comme Mark (Arendz) et Brittany (Hudak) jouer un rôle de mentor auprès des plus jeunes. »

Mullin et son guide Audet ont obtenu une sixième place dans la catégorie des femmes ayant une déficience visuelle. Larivière et son guide Strum ont terminé 14e dans la catégorie des hommes ayant une déficience visuelle, tandis que Lecours a pris la 31e place pour ses débuts en Coupe du monde.

Lors de la deuxième journée, les athlètes ont affronté des températures glaciales allant jusqu’à -18 °C lors de l’épreuve individuelle de 12,5 km en style libre. Brittany Hudak et Mark Arendz ont tous deux terminé au pied du podium, en quatrième position, avec des temps respectifs de 33:00 et 28:52.

Pour sa première course de la saison, Christina Picton, de Fonthill, en Ontario, a pris la huitième place avec un temps de 42:27. Lyne-Marie Bilodeau, de Sherbrooke, au Québec, a terminé neuvième dans la catégorie des femmes assises, avec un temps de 44:02.

« C’était agréable de commencer la saison dans un lieu familier comme Vuokatti », a déclaré Picton. « Je suis fière de ma saison d’entraînement, et c’était intéressant de me mesurer sur des pistes que je connais bien. Voir un plus grand nombre de participantes dans la catégorie des femmes assises était motivant, car cela m’a donné une idée claire de ma position et m’a aidé à définir mes objectifs pour le reste de la saison. »

Lors de la troisième et dernière course de la Coupe du monde de para ski de fond à Vuokatti, les athlètes se sont disputé l’épreuve de départ groupé de 10 km en style libre. Natalie Wilkie et la Norvégienne Vilde Nilsen ont été coude à coude pendant les trois premiers tours de la course dans le groupe des femmes debout. Dans le dernier tour, Wilkie a réalisé une manœuvre décisive pour franchir la ligne d’arrivée en tête avec un temps de 32:44, célébrant sa victoire avec 8 secondes d’avance sur Nilsen. La Chinoise Zhiqing Zhao a complété le podium en 34:02, tandis que Brittany Hudak, de Prince Albert, en Saskatchewan, a terminé quatrième avec un temps de 34:28.

« Le format de course un contre un est toujours excitant, surtout parce que ce n’est pas une façon courante de courir », a expliqué Wilkie. « Affronter des athlètes aux capacités différentes est fascinant, car chacun a des forces uniques : je suis forte dans les montées, mais les athlètes utilisant deux bâtons sont plus rapides sur les sections plates. »

Elle a ajouté : « Ma stratégie était de rester dans le groupe de tête et de courir intelligemment. Je me suis rangée derrière quelques Norvégiennes pour économiser mon énergie pendant cette course venteuse, puis j’ai fait ma poussée finale dans le dernier tour. Je suis ravie de la façon dont ma course s’est déroulée et fière de remporter la victoire ! C’était inspirant d’entendre les encouragements des entraîneurs d’autres pays – j’ai vraiment tout donné. »

De son côté, Mark Arendz, parti de la 13e position avec un retard de 2:42, s’est lancé dans une impressionnante remontée dans la course debout masculine. Lors du dernier tour, il a grimpé jusqu’à la cinquième place avant de fournir un ultime effort pour décrocher la médaille de bronze avec un temps de 31:34. Le Chinois Chenyang Wang a remporté l’or en 29:55, suivi de son compatriote Xiaobin Liu, médaillé d’argent en 30:47.

« Onze podiums en six courses, c’est un excellent début de saison », a déclaré Brian McKeever, entraîneur de l’équipe paranordique canadienne et 20 fois médaillé paralympique. « Il y a encore du travail à faire, mais avec les Championnats du monde au calendrier cette saison, chaque course est une chance d’apprendre et de se préparer pour cet événement majeur. »

Cette saison, l’équipe paranordique du Canada participera aux Championnats du monde de para biathlon à Pokljuka, en Slovénie, du 6 au 9 février, et aux Championnats du monde de para ski de fond à Dobbiaco, en Italie, du 11 au 14 février.

Mark Arendz occupe maintenant la première place du classement général, tandis qu’Emma Archibald se classe quatrième, alors que l’équipe se prépare à la pause des Fêtes.

« Après le sprint et le premier 10 km, j’ai été surpris d’apprendre que j’aurais le dossard de leader pour le départ groupé », a déclaré Arendz. « Avec la troisième place obtenue lors du départ groupé, je vais conserver cette position de leader pour la nouvelle année. Je ne me souviens pas avoir jamais eu les deux dossards de leader en même temps après une Coupe du monde. Cela reflète ma constance et la décision stratégique de participer à toutes les courses depuis le début de la saison. »

Résumé des résultats canadiens

Résultats complets

« Cette saison représente un nouveau départ », a déclaré Arendz, onze fois médaillé paralympique. « L’an dernier a été marqué par l’invincibilité, mais cette année, nous visons des objectifs différents en préparation pour les Jeux paralympiques d’hiver de 2026. » 

Arendz a repris là où il s’était arrêté, décrochant l’or dans la course de sprint de 7,5 kilomètres avec un sans-faute au tir (10 sur 10). Il a devancé l’Ukrainien Serhii Romaniuk de 12 secondes et le Chinois Xiaobin Liu de 11 secondes. 

« Je suis vraiment satisfait de ma performance aujourd’hui », a confié Arendz après la course. « Pour une première épreuve de la saison, on ne sait jamais trop où en est la condition physique, surtout après le long voyagement et le décalage horaire. Mais mon corps a bien réagi, j’ai eu de bonnes sensations sur les skis et j’ai réussi à tirer parfaitement. C’est agréable de commencer la saison avec une telle course. » 

Chez les femmes, la Canadienne Natalie Wilkie a décroché la médaille de bronze malgré deux cibles manquées. Elle a terminé derrière la Chinoise Yujie Guo, médaillée d’or, et l’Ukrainienne Liudmyla Liashenko, qui a obtenu l’argent. De son côté, Brittany Hudak s’est classée sixième avec un seul tir manqué. 

Chez les hommes, Collin Cameron a terminé cinquième avec un temps de 23:49 malgré deux tirs ratés, tandis que Derek Zaplotinsky a pris la septième place avec un tir parfait (10 sur 10) et un temps de 24:13. 

« Ce fut une année difficile, marquée par une longue absence due à une maladie, puis par une blessure à l’épaule qui m’a éloigné de l’entraînement pendant trois mois cet été », a expliqué Cameron. « Malgré tout, j’ai prouvé que je peux encore rivaliser avec les meilleurs de mon sport. Je suis ravi de cette cinquième place pour ma première course de biathlon cette année. » 

Lors de la deuxième journée de compétition, l’équipe canadienne a brillé dans l’épreuve individuelle de 12,5 kilomètres chez les femmes, s’emparant des deux premières places. Natalie Wilkie a remporté l’or grâce à un temps de 38:33, malgré une cible manquée, tandis que Brittany Hudak a décroché l’argent avec un sans faute au tir (20 sur 20) et un chrono de 38:56. La Chinoise Yujie Guo a complété le podium avec un temps de 39:14. 

« Courir dans des conditions aussi froides est toujours un défi », a déclaré Hudak à propos des températures glaciales de -18°C. « On arrive au tir en balançant les bras pour réchauffer nos doigts, et ces conditions peuvent vraiment jouer sur le mental. Mais les athlètes para excellent face à l’adversité, et apprendre à surmonter des conditions difficiles fait partie du sport. » 

Malgré un score parfait au tir (20 sur 20), Mark Arendz a pris la deuxième place, à seulement 4,5 secondes de l’Ukrainien Serhii Romaniuk. Son coéquipier, Dmytro Sereda, a complété le podium avec la médaille de bronze. 

Collin Cameron a terminé huitième avec deux tirs manqués, tandis que Derek Zaplotinsky s’est classé onzième avec une seule cible ratée. Les Ukrainiens Taras Rad et Pavlo Bal ont décroché l’or et l’argent, tandis que le Chinois Zixu Liu a remporté le bronze. 

Natalie Wilkie et Mark Arendz ont conclu la dernière course de para-biathlon à Vuokatti en remportant l’or dans l’épreuve de poursuite sprint. Arendz a signé une nouvelle performance parfaite sur le champ de tir, s’imposant avec 26,4 secondes d’avance sur l’Allemand Marco Maier, médaillé d’argent, et 42,6 secondes sur l’Ukrainien Serhii Romaniuk, médaillé de bronze. 

Malgré deux fautes, Natalie Wilkie a décroché l’or avec une avance de huit secondes sur l’Ukrainienne Oleksandra Kononova et de 31 secondes sur la Chinoise Guo Yujie. Brittany Hudak a pris la cinquième place. 

Derek Zaplotinsky a pris la 11ᵉ place dans la catégorie assis chez les hommes, tandis que l’Ukrainien Taras Rad a décroché l’or avec un temps de 8:15. Les Chinois Mengtao Liu et Zixu Liu ont complété le podium, remportant respectivement l’argent et le bronze avec des chronos de 8:37 et 9:24. 

« C’est une excellente manière de lancer la nouvelle saison. Les résultats obtenus démontrent que le travail effectué pendant l’intersaison a vraiment porté fruit », a déclaré Arendz. « Je suis très fier de mes performances au tir. Réussir trois courses sans faute est une façon idéale de commencer. Il y a eu quelques moments serrés, et je suis certain que les entraîneurs ont retenu leur souffle, mais toutes les plaquettes se sont relevées. » 

L’équipe canadienne para nordique se concentre maintenant vers les épreuves de ski de fond, avec trois autres courses prévues à Vuokatti, en Finlande. 

« Nous passons maintenant aux courses de ski de fond. Commencer la saison par un sprint est toujours intéressant », a ajouté Arendz. « Il y a toujours une part d’incertitude avant la première course, car on ne sait pas encore où l’on se situe par rapport aux autres. Mais je me concentre sur le processus, sur les petits détails à bien exécuter, et nous verrons où ça me mène après le premier jour et pour le reste de la saison de ski de fond. » 

Résumé des résultats canadiens  

Résultats complets: https://live.ultimate.dk/uploads/2024/biathlon/paravuokatti/ 

[Calgary, AB/Ottawa, ON] — Nordiq Canada et Cyclisme Canada unissent leur force pour obtenir de nouveaux partenariats qui aideront les athlètes et programmes partout au pays. Il s’agit d’une initiative audacieuse qui souligne l’engagement des deux organismes à trouver des solutions innovantes pour obtenir du financement.

« En combinant nos forces, nous pouvons offrir à nos partenaires une visibilité pendant toute l’année par le biais de disciplines, compétitions et programmes différents, » explique le directeur général par intérim de Cyclisme Canada, Mathieu Boucher. « Il s’agit d’une opportunité que peu d’ONS peuvent offrir seules. »

La proposition commune est divisée en trois domaines : communautaire, haute performance et soutien lors d’événements, permettant ainsi aux partenaires potentiels de choisir les domaines qui leur conviennent. Avec un total combiné de 110 000 membres et des millions de personnes touchées par les médias sociaux et les médias traditionnels, l’objectif est d’associer les partenaires aux deux sports à longueur d’année.

« Ce n’est un secret pour personne que le système sportif canadien a de la difficulté à suivre avec l’augmentation des coûts et des demandes, » commente la chef de direction par intérim de Nordiq Canada, Megan Begley.

« Nous devons trouver de nouvelles façons de trouver les ressources pour inciter les Canadiens à faire du sport et aider les athlètes qui représentent le Canada sur la scène internationale.

Lorsque la conversation avec Cyclisme Canada a commencé, il était logique de travailler ensemble vers un même objectif. »

En mars dernier, le Comité olympique canadien et le Comité paralympique canadien ont demandé 104 M$ additionnels en financement au fédéral pour les organismes nationaux de sport. Malgré une augmentation du financement sportif du gouvernement du Canada, les organismes font toujours face à un manque de 88 M$.

« Il n’y a aucun doute que toutes les ONS ont dû s’adapter pour pallier ce manque de financement, mais ce défi a également fait place à l’innovation, » explique le directeur général par intérim de Cyclisme Canada, Mathieu Boucher. « Ces situations nous permettent de réévaluer ce dont notre système aura l’air à l’avenir et nous forcent à trouver des solutions plutôt que de nous attarder sur nos limites. Notre objectif est simple : inspirer les Canadiens à faire du vélo, et nous croyons que cette collaboration sans précédent va stimuler notre capacité à y arriver. »

Le ski et le vélo ont plus en commun que la plupart des gens croient.

« Plusieurs de nos athlètes d’élite utilisent le vélo comme entraînement croisé dans la saison morte et participent à des compétitions dans les deux sports au niveau international, surtout chez les juniors. Les cyclistes utilisent également le ski comme entraînement, » dit le directeur de la haute performance de Nordiq Canada, Chris Jeffries.

Les athlètes Pierre Havrey et Jenn Jackson sont d’excellents exemples. Entre 1976 et 1988, Harvey a représenté le Canada lors de quatre Jeux olympiques en cyclisme et en ski de fond. Jackson a représenté le Canada en ski de fond aux championnats du monde U23 2017 avant de changer pour le vélo de montagne pour remporter l’or aux Jeux panaméricains 2023.

« Il est commun de voir des familles qui font du vélo ensemble l’été et du ski de fond l’hiver. Ma famille est un exemple, » dit en riant Chris Jeffries, qui a deux enfants de 9 et 7 ans qui font partie de programmes de cyclisme et de ski de fond.

« Il s’agit d’un projet excitant pour les deux ONS, » ajoute Begley. « Nous sommes optimistes de trouver de nouveaux partenaires qui partagent notre vision de plus de Canadiens en ski, en vélo et sur les podiums. »

POUR PLUS D’INFORMATION :

Josh Peacock

Directeur du marketing et des événements

Cyclisme Canada

C : josh.peacock@cyclingcanada.ca

Nathaniel Mah  

Coordonnateur du marketing et des communications  

Nordiq Canada  

C : nmah@nordiqcanada.ca

Nordiq Canada est l’organisme directeur du ski de fond et du ski paranordique au Canada, le sport d’hiver et loisir par excellence au pays pratiqué annuellement par plus d’un million de Canadiens. Ses 77 000 membres regroupent des athlètes, des entraîneurs, des officiels et des skieurs de tous âges et de tous niveaux. Avec le soutien de ses précieux partenaires d’entreprise ainsi que du gouvernement du Canada, du Comité olympique canadien, du Comité paralympique canadien et À nous le podium, Nordiq Canada forme des champions olympiques, paralympiques et mondiaux. Pour plus d’informations sur Nordiq Canada, visitez https://nordiqcanada.ca.

À propos de Cyclisme Canada

Cyclisme Canada est l’un des plus anciens organismes nationaux de sport au Canada et son objectif est simple : inspirer les Canadiens à faire du vélo. Cyclisme Canada administre des programmes visant à promouvoir et à développer le cyclisme à travers le pays, organise des événements nationaux et internationaux et gère l’équipe nationale à tous les niveaux de la compétition internationale.