Plus de 800 skieurs des catégories senior, junior et para participeront à des épreuves de sprint, de distance et des courses par équipe sur les célèbres pistes, qui ont accueilli la saison dernière la Coupe du monde de ski de fond de la FIS et la Coupe du monde de biathlon de l’IBU.

« Le Club de ski nordique de Canmore, avec le soutien de la ville de Canmore, de Tourism Canmore Kananaskis, d’Alberta Tourism and Sport et d’Alberta Parks and Recreation, est ravi d’avoir été choisi comme hôte des Championnats canadiens de ski Nordiq Canada de 2025 », a déclaré Hugh Simson, président de l’événement. « Nous sommes ravis d’inviter les jeunes skieurs de fond canadiens, les étoiles montantes, les athlètes d’élite et les futurs athlètes olympiques et paralympiques à participer à cette compétition nationale d’une semaine dans l’une des plus belles destinations de ski de fond au monde. Un retour à Canmore en 2025 donnera aux fondeurs de ce pays l’occasion de célébrer le meilleur de notre sport et ce qui, nous l’espérons, contribuera à une passion pour notre sport tout au long de la vie. »

Les championnats canadiens de ski Nordiq Canada permettent aux athlètes, aux entraîneurs, aux techniciens de fartage et aux officiels de se rassembler en tant que communauté dans le respect du développement de chacun.

« La ville de Canmore est réputée pour l’organisation d’événements de haut niveau. Après avoir organisé avec succès une épreuve de la Coupe du monde, nous sommes ravis d’accueillir toute la communauté du ski à Canmore en mars prochain », a déclaré Ilona Gyapay, gestionnaire des événements et des officiels à Nordiq Canada. « Nous avons hâte de travailler avec le Club de ski nordique de Canmore, les officiels et les bénévoles pour organiser cet événement prestigieux et mettre en valeur le site du legs olympique. »

De plus amples renseignements concernant cet événement seront disponibles à la fin du mois d’avril sous l’onglet ” Events ” du site https://www.canmorenordic.com/

Nordiq Canada continue de travailler avec ses partenaires pour finaliser les dates de l’événement.

« Lorsque les gens enfilent des skis pour la première fois, » dit le double olympien canadien, « il y a toujours un moment d’appréhension. Ils sont vraiment concentrés, ils sont très attentifs. »

« Mais ensuite, comme toujours, après un moment, il y a cette étincelle, comme si la lumière s’allumait pour eux, et ils comprennent. Nous avons tous vécu ça quelque part, un moment donné. »

« Un énorme sourire apparaît sur leur visage. Il fait froid, -18, c’est peut-être la journée la plus froide qu’ils ont passée dehors, et ils adorent ça. »

« Ces moments sont universels, peu importe l’âge ou l’expérience. On se sent glisser, on le fait. »

« J’ai commencé à skier lorsque j’avais deux ans. Faire partie de ce projet, qui est une expérience totalement unique, me rappelle ces sentiments quand j’avais 5, 6, 7 ans. Je n’avais pas d’ambition de course, d’objectifs personnels, de rêve d’aller aux Olympiques. »

« Je skiais seulement pour l’amour du ski. C’est vraiment super à voir aller. »

En tant que coordonnateur de l’initiative Terrain de jeu de ski, un partenariat impliquant quatre sports entre Nordiq Canada, Biathlon Canada, Saut à ski Canada et Combiné nordique Canada, Cockney a eu la chance d’être témoin de ces moments à nouveau.

Le format est unique : quatre disciplines de ski dans un même endroit conçu pour initier des gens de différents horizons, et plus particulièrement les personnes Noires, Autochtones, racialisées, 2SLGBTQi+, à faible revenu, les nouveaux arrivants et les personnes atteintes d’un handicap.

Il s’agit d’une expérience unique pour des gens qui n’ont généralement jamais skié et des Canadiens sous-desservis. Une subvention de plus de 290 000 $, reçue par le biais de l’initiative Le sport communautaire pour tous de Sport Canada, a été utilisée pour développer et commercialiser le programme du terrain de jeu de ski, acheter l’équipement et organiser cinq activités de démonstration en partenariats avec des clubs, le tout dans l’espoir que les clubs de partout au pays créent des terrains de jeu de ski peu coûteux à leur tour à l’aide de pelles et d’autres équipements communs.

« Il existe peu de choses qui sont mieux que de voir les jeunes attirés par le champ de tir de biathlon, » dit Cockney en riant. « C’est amusant. Nous avons des fusils laser en place et la lumière devient verte ou rouge, les jeunes deviennent très excités. Aller jouer dehors, essayer un nouveau sport avec d’autres enfants, ce sont de bonnes initiatives pour le sport pour la vie. Que demander de mieux? »

La tournée du terrain de jeu de ski dans cinq provinces a commencé le 18 février au Nickel Plate Nordic Centre à Penticton, en Colombie-Britannique, jusqu’au Wostewea Cross Country Ski Club à Fredericton, au Nouveau-Brunswick, puis vers l’est au Strathcona Wilderness Centre à Uncas, en Alberta, au River Ridge Nordic, en Saskatchewan et, finalement, dans la ville natale de Cockney, à Yellowknife, au Yellowknife Ski Club.

« L’expérience que nous avons vécue ici est merveilleuse, » résume la présidente du club Wostawea, Nathalie Comeau.

Les activités du matin du 24 février à Fredericton étaient axées sur les jackrabbits et les apprenants adultes prêts à essayer de nouvelles choses. Dans la session d’après-midi, ceux qui n’avaient jamais fait de ski avant ont pu se joindre au plaisir.

Comeau ajoute qu’il était de voir les anciens skieurs de fond jackrabbits, qui n’avaient pas visité le club depuis longtemps, revenir pour essayer le biathlon ou le saut à ski.

« Je crois que beaucoup étaient prêts à essayer les fusils laser de biathlon, car ils ont déjà joué aux arcades ou au laser tag, » dit Comeau. « Le saut à ski représente un plus gros défi pour les gens, mais j’ai été agréablement surprise de voir les enfants et les adultes l’essayer. »

« Certains enfants ont même réussi à décoller. Ils étaient vraiment bons. S’ils essayaient et ne réussissaient pas du premier ou du deuxième coup, ils retournaient en courant en haut de la côte et ils disaient “J’y retourne!” Et ils recommençaient jusqu’à ce qu’ils arrivent à atterrir sur leurs pieds. »

« Lorsqu’on pense au saut à ski au Nouveau-Brunswick, on ne penserait jamais pouvoir l’essayer. On en voit aux Olympiques, on sait qu’il y a des sauts à ski dans l’ouest, mais c’est tout. D’avoir cette activité ici, d’essayer les skis, le casque et tout, c’est inhabituel et tellement amusant, tellement excitant. Je suis certaine que les gens se sont dit : “Je dois essayer ça. Quand est-ce que je vais ravoir cette chance?” »

C’est une chance que Carolyn MacDonald, pendant sa première année de bénévolat à Wostawea, et son fils de six ans, William, ont saisie pleinement.

Photo: Paul Jordan

« Le saut à ski! » s’exclame William lorsqu’on lui demande lequel des quatre sports il a le plus aimé pendant la journée. Pourquoi?

« Parce que c’était amusant et parce que maman avait peur. »

« Moi j’étais correct. J’ai essayé environ 20 fois. J’ai atterri sur mes skis, puis j’ai perdu l’équilibre et je suis tombé sur le côté ou sur le dos. Et une fois j’ai sauté, j’ai été dans les airs, et j’ai atterri dans un banc de neige! »

Le concept d’intégrer ces quatre types de ski ensemble a impressionné Carolyn MacDonald.

« Je crois que c’est une excellente idée, » dit-elle. « Surtout dans un endroit comme ici, à Fredericton, où notre terrain est idéal pour le ski de fond, mais les gens n’ont pas vraiment l’occasion d’essayer d’autres types de ski. Il y a un endroit pour faire du ski alpin près d’ici, mais c’est vraiment différent si on compare à ce qu’ils ont dans l’ouest. »

« Essayer le saut à ski… les pentes étaient très petites, les bosses étaient douces, mais ce n’est pas quelque chose que j’aurais cru pouvoir essayer dans ma vie. Je ne sais pas si j’aurais eu la chance s’ils n’avaient pas apporté les bons casques et les skis et construit les sauts de débutant pour qu’on puisse l’essayer. »

« S’ils veulent que les gens essaient le ski, je crois que c’est une excellente façon d’y arriver.

J’espère que l’activité va revenir. »

Ce commentaire, bien sûr, est de la musique aux oreilles de Cockney, qui reconnaît que l’initiative a demandé beaucoup de travail et de déplacements dans une courte période.

« Lorsque j’ai entendu parler de ce projet pour la première fois, » admet-il, « je me suis dit : wow, c’est vraiment un gros projet… et maintenant que j’arrive à la fin, il ne reste qu’une activité à Yellowknife la semaine prochaine, c’était gros. Lancer l’élan, faire bouger les choses et se mettre sur le radar des clubs en début d’année, embarquer 13 sacs de skis Salomon et tout l’équipement qui va avec, conduire dans les communautés avec un camion loué ou traverser trois fuseaux horaires en avion dans notre immense pays. »

« Je ne savais rien à propos du biathlon, du saut à ski ou du combiné nordique. J’ai été tellement bien appuyé par les autres organes directeurs du sport pour combler ces lacunes et offrir un programme de qualité. »

« Tout ce projet, je dois l’admettre, était un peu intimidant. Je dois apporter combien de paires de skis dans combien de clubs à travers le pays en combien de semaines? Avant même de commencer, j’en avais la tête qui tournait. »

« Par contre, les bénéfices en valaient vraiment la peine : j’ai pu visiter de nouvelles communautés au pays, voir des clubs dont je n’avais jamais entendu parler, parler de ski et entendre de nouveaux points de vue. »

« Une chose qui s’est démarqué dès le départ pour moi, » explique Cockney, qui est d’origine inuvialuit, « c’est qu’on devait contacter certaines populations et c’était notre objectif principal. Que ce soit les communautés Autochtones, LGBTQ ou n’importe laquelle des populations dignes d’équité que nous avons touchées grâce à ces activités. On a pu prouver que le ski, c’est vraiment pour tout le monde. Ce n’est pas une question de capacité, d’âge, d’origine ou de familiarité. Ce sont des activités pour le plaisir seulement et ça attire une grande variété de participants… peu importe ce qu’on recherche avec ces quatre sports, on l’offre. Ce sont des activités sportives pour la vie. »

« C’était vraiment plaisant d’offrir des opportunités à des gens partout au pays. »

« Une autre chose vraiment bien, croyez-le ou non, c’était les défis que cet hiver nous a apportés. Les conditions ont été similaires un peu partout : peu de neige, conditions variables, de la pluie en janvier… c’était vraiment difficile comme conditions de ski. J’ai été en Colombie-Britannique, au Nouveau-Brunswick, en Saskatchewan et en Alberta, j’ai parlé avec des gens en Ontario et aux Québec, j’ai vu la créativité et le travail des bénévoles sur le terrain pour garder des bonnes conditions afin que les gens viennent skier. C’est incroyable. »

« C’était génial de voir l’enthousiasme des gens qui faisaient de leur mieux avec ce qu’ils avaient sous la main. »

En plus, Cockney a la chance de retourner, pour terminer ce projet, à l’endroit même où son père, Angus Cockney, ancien membre de l’équipe nationale de ski, lui a fait connaître le sport qu’il a rapidement adopté, puis chéri.

« Je suis revenu au fil du temps, mais je n’ai pas eu l’occasion de skier à Yellowknife depuis 1996, l’année où ma famille a déménagé à Canmore, en Alberta, » souligne Cockney.

« Mes premiers pas en ski étaient avec ce club en 1991 ou 1992. Ça fait longtemps. J’ai des amis à Yellowknife qui habitent toujours ici, ils ont des familles que je n’ai pas eu la chance de rencontrer… le temps file, n’est-ce pas? »

« C’est ici que j’ai appris à skier il y a de nombreuses années. Ça va être vraiment spécial. Je suis tellement chanceux que ce sport fasse partie de ma vie. »

À l’avenir, il espère que tous les Canadiens ressentiront la même chose, en partie grâce au terrain de jeu de ski.

Prix Dave Rees
Remis à une personne pour souligner leur contribution exceptionnelle et leur apport au développement du ski de fond au niveau national.

Prix Firth
Remis à une femme pour souligner une contribution exceptionnelle et un apport au développement du ski de fond au niveau national.

Prix de bénévole de l’année
Remis à des personnes pour souligner une contribution importante au ski de fond.

Candidatures d’ici le 2 mai

Le formulaire de mise en nomination

Les prix seront présentés lors de l’AGA du du 6-9 au juin à Whitehorse, YT.
Questions? Contactez Krista au krobinson@nordiqcanada.ca

Cette quatrième place est un record personnel pour Cyr et le meilleur résultat canadien en Coupe du monde depuis la retraite du grand skieur et mentor Alex Harvey.

« C’est mon meilleur résultat individuel en Coupe du monde. Je suis ravi de ce résultat. C’est tellement satisfaisant d’être dans la finale et de se mesurer aux meilleurs au monde », a déclaré Cyr.

L’athlète de 25 ans originaire de Gatineau, au Québec, s’est classé 11^e dans les qualifications, ce qui l’a placé en bonne position pour les quarts de finale. Dans la manche de quarts de finale la plus rapide de la journée, Cyr a battu l’Américain James Schoonmaker dans une arrivée serrée pour s’emparer de la deuxième place. En demi-finale, Cyr a terminé troisième, dans la course la plus rapide de la journée, ce qui lui a valu un laissez-passer de perdant chanceux pour la finale du sprint, composée de six coureurs. Dans la dernière manche, Cyr est resté derrière les meneurs puis, sprintant en double poussée jusqu’à l’arrivée, a arraché la quatrième place au skieur français Richard Jouve.

La quatrième place de Cyr survient après une 20^e place dans la course classique de 50 km il y a deux jours à Oslo, en Norvège. Cyr terminera la saison avec des courses à Falun, en Suède. 

Trois autres Canadiens ont participé à la course de Drammen aujourd’hui : Pierre Grall-Johnson, d’Ottawa (Ontario), a terminé 45^e, Xavier McKeever, de Canmore (Alberta), 46^e, et Sasha Masson, de Whitehorse (Yukon), 58^e.

Résultats complets

Johannes Klaebo a pris la première place en 2:35:89. Haavard Taugboel a terminé deuxième à 1,09 seconde derrière et Even Northug troisième, 1,32 seconde plus tard.

COMMUNIQUÉ D’ENGNE : Gatineau, Québec – 4 mars 2024 – Plus de 750 skieurs de partout au Canada devraient participer à l’événement qui se déroulera du 10 au 16 mars au Centre de ski nordique Nakkertok, à la périphérie de Gatineau. Après avoir accueilli le même événement en 2019, la région de l’Outaouais accueillera, pour la 12e fois l’événement qui a eu lieu pour la première fois au Mont-Royal, à Montréal, en 1921.

La 96e édition de l’événement couronnera les champions nationaux des catégories d’âge junior et sénior. Les concurrents des universités et des collèges participeront également à l’événement ainsi que les skieurs paranordiques. Plus de 770 athlètes provenant de 87 clubs et de 11 provinces/territoires ainsi que quelques coureurs internationaux seront sur place.

Alors que les deux meilleurs athlètes locaux, Antoine Cyr et Katherine Stewart-Jones, seront absents à la Coupe du monde, la « prochaine génération » d’athlètes locaux, dont les gagnants de la Coupe Canne de Noël Luke Allan et Clara Hegan, ainsi que Tory Audet et Mats Halvorsen, de Chelsea, concourront pour plus de 25 000 $ de prix en argent !

Mère Nature nous a lancé des défis en matière de météorologie, mais le système d’enneigement de Nakkertok et les efforts de pelletage d’innombrables bénévoles devraient garantir de bonnes conditions de sentiers pour l’événement. Le fait que Dirk Van Wijk, triple dameur olympique, fasse partie de l’équipe des sentiers aide également.

Athletes from the University of Ottawa help shovel snow onto the course. Video Credit @uottawanordiq

L’entrée aux courses est gratuite pour les spectateurs. John Halvorsen, co-président de l’événement invite d’ailleurs la population à ne pas manquer ce rendez-vous : La région de l’Outaouais est l’une des meilleures destinations de ski de fond au Canada et ENGNE, en partenariat avec Gatineau et Tourisme Outaouais, s’est imposée comme une organisation hôtesse de classe mondiale capable de produire des Coupes du Canada et des Coupes du monde. Cette année, les Championnats canadiens 2024 de Nordiq Canada réuniront plus de 750 des meilleurs talents du Canada à Gatineau pour mettre en valeur la région et la force croissante du ski canadien. Nous sommes très enthousiastes et nous espérons que toute la région viendra applaudir et profiter de la fin de la saison.

Les médias sont invités à venir rencontrer des athlètes ainsi que les co-présidents de l’événement M. Halvorsen et Pierre Millette qui seront à votre disposition le samedi 9 mars sur le site de la compétition, à compter de 10 h. On rappelle que le site est situé au 900, avenue Gatineau, accès au coin du chemin Taché.

Horaire des épreuves :

• Dimanche 10 mars, 9 :00: Départs par intervalles – Technique libre
• Lundi 11 mars, 9 :00 : Qualifications Sprints technique classique suivi des vagues éliminatoires (M16, M18 et catégories paranordiques)
• Mardi 12 mars, 9 :00 : Qualifications Sprints technique classique suivi des vagues éliminatoires (M20, sénior, catégories paranordiques, collégial et universitaire)
• Jeudi 14 mars, 8 :30 : Qualifications Sprints par équipes – Technique libre suivi des finales (M16, M18, M20, sénior, collégial et universitaire)
• Vendredi 15 mars, 9 :00 : Départs groupés Technique Classique (M16, M18)
• Samedi 16 mars, 9 :00 : Départs groupés Technique classique (M20, sénior, collégial et universitaire)

Informations :

Les médias qui assistent à l’événement doivent informer l’équipe des communications y compris pour la rencontre de presse le 9 mars, par courriel au media@engne.ca de leur heure d’arrivée prévue et envoyer un texto à leur arrivée au 613-601-8257 afin que nous puissions vous rencontrer, vous aider à vous orienter et à vous donner un accès privilégié à l’événement. Certaines places de stationnements seront réservées pour les médias et nous aurons un espace réservé à l’usage des médias, la remorque de la Ville de Gatineau, dans le stade.

Pour plus d’informations, nous vous invitons à communiquer avec :

Médias francophones : Marie-Pier Pelletier-Millette media@engne.ca 819-593-1159 Pierre Millette info@engne.ca 343-541-8162

Médias anglophones : Anton Scheier media@engne.ca 613-601-8257 Site web officiel de l’événement : https://championnatsdeski2024.ca/

En savoir plus

Nordiq Canada compte deux rôles de représentants des athlètes et l’équité des genres est requise. Le représentant des athlètes actuel est Julian Smith. Julian a été élue en 2023 pour un mandat de deux ans. Cette élection servira à élire la représentante des athlètes. La représentante des athlètes actuelle est Katie Weaver. Katie a été élue en 2022 pour un mandat de deux ans.

Des candidates qui représentent tous les athlètes, des volets olympique et paralympique, sont désirés.

En savoir plus

Les candidats intéressés doivent :

• Envoyer un courriel à Brennan Craig (membre du conseil d’administration de Nordiq Canada) au queencitycraigs@gmail.com d’ici le 11 mars 2023 à 23 h 59 HNP pour aviser Nordiq Canada de leur intention de se présenter aux élections.
• Soumettre une courte présentation écrite qui sera lue par les athlètes avant le vote. La présentation écrite doit être envoyée à Brennan Craig au queencitycraigs@gmail.com d’ici le 11 mars 2023 à 23 h 59 HNP et contenir les renseignements suivants :
  • Renseignements généraux : Nom, âge, club/équipe, province ou territoire
  • Une déclaration de 1000 mots sur les compétences/expériences pertinentes que vous possédez et la raison pour laquelle vous pensez être le bon athlète pour le poste.

L’équipe canadienne est composée de vétérans de la Coupe du monde et de jeunes espoirs prometteurs qui font leurs débuts sur la scène internationale.

« Ce sera une semaine très intéressante pour le programme de l’équipe nationale de ski et pour les athlètes canadiens. C’est l’occasion pour l’univers nordique de découvrir le Canada et la beauté inégalée de Canmore», a déclaré Chris Jeffries, directeur de la haute performance du volet de ski de fond olympique. 

« Pour certains membres de notre équipe, c’est l’occasion de viser le podium. Pour d’autres, il s’agira de leur premier départ en Coupe du monde. La priorité demeure l’amélioration individuelle, la découverte de nouvelles perspectives d’apprentissage et de développement et, surtout, la volonté de représenter notre communauté par nos valeurs fondamentales et notre comportement en tant qu’équipe ».

Les vétérans québécois Katherine Stewart-Jones, de Chelsea, et Antoine Cyr, de Gatineau, mèneront l’équipe. Forts de leurs résultats de top 20 et top 10 en Coupe du monde cette saison, ils sont de sérieux prétendants à cet événement.

« J’ai vraiment hâte de courir sur mes propres pistes. Ma famille fera le voyage pour me soutenir et m’encourager, donc ce sera génial », a déclaré Stewart-Jones. « J’ai aussi hâte de skier ici au niveau de la Coupe du monde. Ma dernière Coupe du monde ici remonte à longtemps et je suis une athlète très différente de celle que j’étais il y a huit ans ! »

Katherine Stewart-Jones races in Canmore, AB. Photo: Nordiq Canada/Nathaniel Mah

Stewart-Jones qui vit à Canmore depuis plusieurs années, s’entraîne avec la Alpine Insurance Alberta World Cup Academy. Pour elle, après trois mois en voyage, se réveiller dans son propre lit pour participer à une Coupe du monde est une expérience rare et appréciée.

« Mon intention est de tirer pleinement parti de la préparation supplémentaire dont je dispose ici, de profiter de l’énergie de la foule locale et de m’amuser en skiant aussi fort que possible. »

« Après deux top 10 cette saison, tout semble aller pour le mieux », a déclaré Antoine Cyr, membre de l’équipe nationale de ski du Canada. « J’aimerais obtenir un autre top 10 à Canmore et j’espère me battre pour le podium ».

Cyr, qui a obtenu son meilleur résultat en carrière en terminant quatrième la saison dernière, frappe à la porte du podium de la Coupe du monde. Il se rendra à Canmore en espérant que la foule locale l’encourage à décrocher le premier podium de Coupe du monde pour le Canada depuis 2019. 

06.01.2023, Val di Fiemme, Italy (ITA):
Antoine Cyr (CAN) – FIS world cup cross-country, tour de ski, individual sprint, Val di Fiemme (ITA). www.nordicfocus.com. © Modica/NordicFocus. 

« Je vais à Canmore depuis que j’ai commencé à participer à des compétitions sur le circuit canadien, je connais bien les pistes, et si on ajoute l’altitude, ça nous donne un énorme avantage. J’ai vraiment hâte de courir devant mes amis et les amateurs de ski canadiens. »

Les autres membres de l’équipe sont : 

Femmes

Katherine Stewart-Jones – Chelsea, Qc

Olivia Bouffard-Nesbitt – Morin-Heights, Qc

Katherine Weaver – North Vancouver, C.-B.

Anna Parent – Canmore, Alb.

Marlie Molinaro – Whistler, C.-B.

Élie-Anne Tremblay – Lévis, Qc 

Marielle Ackermann – Kimberley, C.-B.

Anna Stewart – Thunder Bay, Ont.

Maeve MacLeod – Revelstoke, C.-B.

Katya Semeniuk – Ottawa, Ont.

Hommes 

Antoine Cyr – Gatineau, Qc

Julien Locke – Nelson, C.-B.

Olivier Léveillé – Sherbrooke, Qc

Xavier Mckeever – Canmore, Alb.

Léo Grandbois – Sherbrooke, Qc

Pierre Grall-Johnson – Ottawa, Ont.

Julian Smith – Georgian Bluffs, Ont.

Erikson Moore – Mont-Tremblant, Qc

Ry Prior – Chelsea, Qc

Félix-Olivier Moreau – Saint-Ferréol-les-Neiges, Qc

Xavier Lefebvre – Longueuil, Qc

Samuel Hendry – Canmore, Alb.

Scott HIll – Parry Sound, Ont.

Rémi Drolet – Rossland, C.-B.

Micah Steinberg – Calgary, Alb.

Eamon Wilson – Burnaby, C.-B.

Les Canadiens seront confrontés à une forte compétition au célèbre Centre nordique de Canmore.   Plus de 190 athlètes de 19 pays différents participeront à quatre jours de course palpitants au Centre nordique de Canmore.  C’est une occasion rare pour les amateurs de ski de voir les meilleurs athlètes au Canada et de manifester leur soutien à la communauté locale de ski. Le transport et les billets sont gratuits pour l’événement, et il est encore possible d’acheter des billets VIP sur le site Web de la Alberta World Cup Society.

Canmore offrira une foule d’événements au monde entier. Les spectateurs pourront découvrir une série d’activités, notamment des promenades artistiques, un marché nordique, des zones réservées aux spectateurs et la mini-Coupe du monde COOP. Les amateurs de ski peuvent planifier un week-end parfait sur le site www.albertaworldcup.com. 

« Nous sommes ravis d’accueillir une fois de plus les meilleurs fondeurs du monde à Canmore », a déclaré Norbert Meier, vice-président de la Alberta World Cup Society et président des événements.  « Ensemble, nous avons organisé un événement exceptionnel sur des pistes de niveau international au Centre nordique de Canmore, au coeur des montagnes Rocheuses.»

Calendrier: 

(Sujet à être modifié sans préavis)

Billets: 

L’entrée est gratuite, mais pour ceux qui souhaitent avoir les meilleures places, des billets VIP sont encore disponibles sur le site www.albertaworldcup.com. 

Diffusion:

Les Canadiens qui ne peuvent pas assister à l’événement en personne pourront le visionner en direct sur CBC Gem, avec du contenu en coulisses sur Nordiq Canada et sur les plateformes de réseaux sociaux de la Coupe du monde de l’Alberta.

Personnes-ressources pour les médias :

Nathaniel Mah , coordonnateur du marketing et de l’engagement

Nordiq Canada 

T: 403-700-4927  

C: nmah@nordiqcanada.ca

Justin Brisbane, gestionnaire des médias

Coupe du monde de ski de fond COOP FIS de Canmore

C: jbrisbane@albertaworldcup.com

Préparez vos idées

Voici le modèle pour votre dessin

Voici les critères pour participer au concours :

• Les participants doivent être inscrits à un programme Jackrabbit ou Jeannot Lapin de Nordiq Canada
• Les participants doivent être âgée de 5 à 9 ans
• Le dessin doit être une œuvre originale

Sélection et dates limites :

• Les dessins doivent être envoyés à Julie Beaulieu (jbeaulieu@nordiqcanada.ca) avant midi (HNR) le 18 février, 2024.
• Nordiq Canada choisira 10 finalistes et procèdera à un vote par Survey Monkey. La période de vote sera du 20-24 février à midi (HNR). Veuillez noter que seuls les membres de Nordiq Canada peuvent voter!
• La tuque gagnante sera annoncée sur la page Facebook et le site web de Nordiq Canada.

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